Sylviane Dréau Artiste peintre

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            Mon Chemin aura été                           synonyme de calvaire








Les Oeuvres témoignages originales en ma possession seront disponibles à la vente à ma mort.... sauf, en  cas de force majeure, où, le cas échéant, je me verrai contrainte de les détruire, afin de ne rien laisser derrière moi.. Ce qui est sûr, c'est que je garderai toujours la Foi car je suis née ainsi ; si il m'arrive parfois de connaître des moments de doutes, ces derniers ne durent jamais très longtemps, et, ça fait tellement de bien de pouvoir se remettre en question de temps à autre : "c'est comme une lumière qui surgit dans les ténèbres pour vous indiquer la voie à  suivre". 
En attendant, la vie continue....  Sylviane Dréau : Sylviou, le 10/07/2023.      


  

Réévaluation de la cote artiste sur appréciation,  par
Jacques Armand Akoun, 
                                   le 30 juin 2023

Juste un point d'honneur : j'y attache plus d'importance qu'à la valeur vénale des choses. Sylviane Dréau : Sylviou, le 10/07/2023.          
Estimation 2019 
              Dernières Oeuvres détruites en 2017  En Mai 2019 dans mon jardin 50 oeuvres ont été  brûlées  (cause divorce). J'ai été une femme maltraitée, j'ai tout supporté pour préserver mes enfants, même l'inimaginable ; il m'aura fallu faire avec.... 

  • J'ai toujours vécu dans la Foi, et je pense que la peinture aura été une thérapie, sans laquelle,  je ne m'en serai certainement jamais sortie. Je vis d'espoir au quotidien, de doutes aussi,  mais je sais  que Dieu ne m'abandonnera jamais.  J'ai à présent 70 ans, et je reste confiante en l'avenir ; je vis aussi de prières, les miennes : elles sont ce qu'elles sont, simples mais vraies.

  • Je n'ai jamais prié pour demander de l'argent, le Seigneur suffit à mes besoins. A mes yeux, rien ne peut égaler l'honneur, et je pense très sincèrement qu'une vie sans honneur ne vaut pas la peine d'être vécue.  Dans mes veines, coule du sang gitan, et je ne plaisante jamais quand il s'agit de choses sérieuses--->si l'argent n'achète pas tout,  que ferions-nous sans ?

  •      "Il s'appelait Jésus" peint en 1997 Cette peinture avait une histoire (détruit)Photo 2001 à Ivry-sur-Seine
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  •    lien---> Galerie Huiles 1998 à 2009 (oeuvre témoignage 2002)
  •                                C' est aussi un poème écrit en 2001 
                                                                              Recueil 2001
  • envoyé au Pape Jean-Paul II en 2001 par moi-même, et  en 2004 (original), par le prêtre Dominique Fontaine, alors Curé d' Ivry-Sur-Seine et journaliste au Jour du Seigneur sur F2, ce dont j'ignorais ; il se trouve que c'est lui, qui se trouvait à la Chapelle Charles Foix, non loin de ma demeure avec d'autres personnes lorsque j'ai déposé des documents devant l'Autel, sur le sol ; j'ai toujours tout remis, j'ai fait à ma façon.... Une des plus grandes luttes de mon existence aura été de veiller à toujours me tenir éloignée de l'Eglise ; ma vraie famille, c' était celle-là. J'ai supplié l'Ange de choisir quelqu'un d'autre, une personne instruite, pas moi ! Il m'a juste répondu que j'étais née pour ça....  Et j'ai ajouté un O à Sylviu, pour faire OU, pensant que personne ne comprendrait....
  • Sylviane  Dréau, Sylviou le 17/07/2023. 

  •                                                                               "Le Chemin"Cette toute première peinture a été faite (comme les suivantes dans ma chambre, sur mes genoux, le 8 Septembre 1997. Au bout de quatre heures, elle était entièrement terminée, et même vernie (le boutiquier m'avait donné ce qu'il y avait de mieux, pour commencer....). C'était de l'acrylique très fine ; j'ai mis de l'eau dans une petite cuvette, et ce fut le début d'une très étrange et belle découverte---> jour après jour,  je pouvais contempler plein de petites magnifiques créatures qui s'étaient formées à la surface de l'eau au repos.  (détruit) 

  • Aperçu des oeuvres détruites en 2017 à cause d'un homme à qui j'ai promis il y a une trentaine d'années, qu'un jour, je le dénoncerai.  

  •  (Ca nage la-dedans), un soir, après m'avoir harcelée pendant des heures pour obtenir un coït analil m'a  ensuite délogée de la chambre voisine où je m'étais réfugiée en disant "Dieu me fait crever,  je te touche pas, retourne te coucher !" ; par un bras,  il m'a sortie du lit dans lequel j'avais fini par me rendormir, pour  plus tard, me forcer à subir un rapport contre nature. ( j'avais eu une légère descente d'organes en début de ma quatrième grossesse). Je dormais déjà lorsqu'il était monté à son tour, il avait bu tout le jour des alcools forts. Jamais je n'ai pu oublier les hurlements de ma fille Blandine âgée à l'époque de quelques mois que le bruit avait réveillée.  J'ai vomi, j'avais mal, tellement mal. C'est comme si tout venait de s'écrouler pour toujours autour de moi, c'était fini. Je me répétais  "Dieu va le punir",, "Dieu va le punir", et j'ai repoussé ça en moi pour pouvoir continuer à vivre.

  • La veille, quelqu'un avait traité mon mari de con à cause de moi. Cette personne lui avait parlé à table d'un testament qu'il avait fait pour protéger sa femme et ses deux filles, ce à quoi mon mari avait répondu "c'est sûrement pas moi qui irait faire un testament, pour que je me casse la pipe, et qu'un autre vienne derrière pour profiter de ce que j'ai gagné". L'homme, un plombier de sa connaissance qui s'appelait Christian, avait rétorqué " tu es  un connard,  un vrai con, c'est honteux,  jamais je n'aurai cru ça de toi ; tu prends la mère de tes enfants pour une putin ? Quel con, quel connard, c'est une  honte d'entendre ça, avait-il ajouté avant de se lever pour sortir de table....  Mon mari n'avait pas réagi, ni dit un seul mot, comme si il n'avait pas entendu. Et le plombier ne lui avait plus adressé la parole, ,jusqu'à son départ, le lendemain tôt dans la matinée, alors que je les avais entendu dire qu'il ne pourrait  pas rentrer chez lui avant le surlendemain qui se trouvait être un dimanche, vu le travail qui restait encore à faire.

  •  J'étais la mère de trois grands enfants, âgés de 21, 19 et 17 ans. Ils étaient absents au moment du drame : "toi je te préviens que si tu parles personne te croira, et ce sera ma parole contre la tienne". J'avais trente huit ans et lui dix-sept de plus.

  •  Je dormais toujours avec un vieux rosaire pour l'avoir trouvé sur un chantier sous un tas de gravats,  près de Vic Fezansac en Gascogne (livre témoignage), quelques années plus tôt. Il se trouvait sous mon oreiller quand ça s'est passé. Je m'endormais soir après soir, le crucifix auquel il manquait un bras, serré dans ma main droite, mais ni mes supplications, ni la présence de mon enfant, ne l'ont stoppé. 

  • Je ne suis pas une criminelle, ni suicidaire,  mais une lâche pour ne pas avoir su l'arrêter quand il l'aurait fallu.. Mon fils Adrien est né moins de deux ans plus tard....
  • Sylviane Dréau, Sylviou le 19/07/2023.
  •                                                                                                            Autre peinture détruite (huile sur chassis toile de lin, création 2013)
  •                                                Travaux




  •              lien---> galerie huiles 1998 à 2009 (oeuvre témoignage 2002)                         
  •                    C' est aussi un poème écrit en 2005

  •               lien---> galerie huiles 1998 à 2009 (oeuvre témoignage 2003)         Portrait d'une pure 
  • Cette création de 2019  "j'y vas mon p'tit papa" se trouve dans la galerie des acryliques sur toile faites pendant la procédure de mon divorce. 
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